L’Agence Italienne de Coopération au Développement (AICS) est l’agence publique chargée de la promotion du développement international, de l’aide publique et des urgences humanitaires.
Opérationnelle depuis janvier 2016, elle permet au gouvernement italien de soutenir ses partenaires européens et internationaux en faveur du développement à travers le monde. Sa mission : “effectuer des activités techniques et opérationnelles liées à l’examen, au développement, au financement, à la gestion et au contrôle des initiatives de coopération”. L’Agence italienne opère dans les domaines de la santé, de l’éducation et de l’environnement. Elle œuvre en faveur d’une juste répartition des richesses et d’un accès équitable aux infrastructures et aux services de base. L’AICS opèrent en collaboration avec les organisations non gouvernementales, les institutions étatiques et le secteur privé dans un principe de transparence et de responsabilité sociale.
Basée à Rome, en Italie, l’AICS dispose d’un réseau de 20 bureaux régionaux chargés de la gestion des projets mis en œuvre à travers le monde. En 2017, l’Agence s’appuie sur 252 collaborateurs et investit 592 millions d’euros dans l’éducation, la santé, la sécurité alimentaire, le développement agricole, la lutte contre le dérèglement climatique, le maintien de la paix et l’égalité des genres. Plus de 1 000 projets ont été mis en place depuis la création de l’Agence. En 2017, 200 ont été approuvés et lancés.
En avril 2019, le Conseil des Ministres italien nomme Luca Maestripieri au poste de Directeur Général de l’AICS. Auparavant, Luca Maestripieri occupait le poste de Vice-directeur chargé du Développement au sein du Ministère italien des Affaires étrangères et de la Coopération internationale. Il succède à Leonardo Carmenati.
L’AICS soutient l’entrepreneuriat africain en devenant partenaire du Land of Africa Business pour l’organisation des African Rethink Awards 2019 et aussi le Marathon du Sahel, porté par Bond’Innov et la Banque Mondiale.
L’Association du Notariat Francophone a été créée à l’initiative de la profession notariale le 7 mars 1992 à Paris. Aujourd’hui, elle regroupe les chambres notariales de 27 Etats, ainsi que de nombreux notaires, membres individuels. L’ensemble de ses membres sont convaincus qu’un environnement juridique pertinent favorise les échanges commerciaux, les investissements et l’amélioration du cadre de vie des populations.
Pour aller en ce sens, son objectif est triple:
- Développer les liens entre les notaires francophones pour faciliter la coopération transfrontalière.
- Mettre en commun les moyens matériels et humains à travers la réalisation de projets d’intérêt commun.
- Susciter la tenue, à intervalles réguliers, d’assises du notariat francophones.
Formation notariale, renforcement du Droit des affaires en Afrique, sécurisation foncière et appui à la délivrance de l’état civil : le champ d’action de l’Association du notariat francophone est large. Elle milite aussi pour le maintien de la diversité dans l’ordre juridique mondial.
Du 25 février au 3 mars 2019, elle a organisé à Annaba, en Algérie, la XIVème édition des Rencontres du Notariat d’Afrique. Plus de 600 notaires d’Algérie, du Maroc, de Tunisie, du Bénin, du Togo, du Sénégal, du Mali, du Niger, de Guinée, de République Centrafricaine, du Burkina-Faso, du Cameroun, du Congo, du Gabon, du Tchad, de Côte d’Ivoire, de Madagascar, de l’île Maurice et, pour la première fois de Mauritanie, de Somalie et de Libye ont participé aux travaux.
L’Association est présidée depuis octobre 2007 par Laurent Dejoie, également Président de la Mission Internationale du Conseil Supérieur du Notariat depuis 2018 et Vice-Président de la Région Pays de la Loire depuis 2010. Il témoignera son soutien à l’entrepreneuriat africain en participant, une année de plus, au African Rethink Awards 2019.
Atos est un leader international de la transformation digitale. Avec plus de 110 000 collaborateurs répartis dans 73 pays, la société réalise un chiffre d’affaires annuel de plus de 11 milliards d’euros.
Numéro un européen du Cloud, de la cybersécurité et des supercalculateurs, le groupe fournit des solutions intégrées de Cloud Hybride. Il exerce ses activités sous les marques Atos, Atos Syntel, et Unify. Société Européenne, cotée sur Euronext Paris, elle fait partie de l’indice CAC 40.
L’entreprise est issue de la fusion en 1997, de deux entreprises de services informatiques françaises, Axime et Sligos. Dès l’année 2000, Atos comptait 11 000 collaborateurs pour un chiffre d’affaires annuel d’environ 1,1 milliards d’euros. Elle est aujourd’hui dirigée par Thierry Breton, Président et PDG de la société.
La raison d’être d’Atos est de contribuer à façonner l’espace informationnel. Avec ses compétences et ses services, le groupe supporte le développement de la connaissance, de l’éducation et de la recherche dans une approche pluriculturelle et contribue au développement de l’excellence scientifique et technologique.
Partout dans le monde, Atos permet à ses clients et à ses collaborateurs, et plus généralement au plus grand nombre, de vivre, travailler et progresser durablement et en toute confiance dans l’espace informationnel.Acteur technologique majeur en Afrique, Atos dispose de bureaux de représentation en Afrique du Sud, au Sénégal, en Algérie, en Côte d’Ivoire, au Gabon et au Maroc, supervisés par Francis Meston, Directeur général Afrique.
En 2016, Thierry Breton et le Président sénégalais, Macky Sall, inaugure le Centre Atos de Services numériques pour l’Afrique de l’Ouest. En activité depuis 2014, le centre fournit des services informatiques de développement, maintenance et intégration.
En février 2018, Atos devient partenaire de référence de la Maison d’Education Mariama Ba, établissement consacré à l’éducation des jeunes filles au Sénégal. Le partenariat comprend modernisation des ressources numériques et actions de collaboration professionnelle.
Ces deux projets, entre autres, illustrent l’engagement d’Atos pour le développement de filières d’excellences au Sénégal. Atos renouvellera son engagement auprès de l’écosystème africain et les start-ups par sa participation aux ARA 2019.
Avec 189 États membres, des collaborateurs issus de plus de 170 pays et plus de 130 antennes à travers le monde, le Groupe de la Banque mondiale est composé de cinq institutions œuvrant de concert à la recherche de solutions durables pour réduire la pauvreté et favoriser le partage de la prospérité. Le Groupe de la Banque mondiale est l’une des principales sources de financement et de savoir pour les pays en développement.
Le groupe compte plus de 10 000 employés répartis dans quelque 120 bureaux à travers le monde. Sa mission est double :
- Mettre fin à la pauvreté extrême : faire en sorte que la part de la population mondiale vivant avec moins de 1,90 USD par jour passe sous la barre des 3 % d’ici 2030
- Promouvoir une prospérité partagée : favoriser, dans chaque pays, l’augmentation des revenus des 40 % les plus pauvres
Pour cela, la Banque Mondiale multiplie les initiatives en faveur de l’entrepreneuriat africain et aux start-ups du continent. En ce sens, elle impulse la compétition Le Marathon du Sahel. Sous la forme d’un concours d’entrepreneuriat sur 42 jours, et dans 7 pays du Sahel, la compétition doit permettre d’identifier des 1 à 2 champions nationaux qui concourront pour remporter le titre de Champion du Sahel.
A la clé :
- 6 prix jusqu’à 25 000€ seront remis aux champions du Sahel.
- Un accès exclusif à un réseau de mentors et d’entrepreneurs expérimentés.
- Un accompagnement personnalisé (cycle de formation, aide à la résolution des problèmes, aide à l’application pratique des idées entrepreneuriale)
Cette compétition est organisée en collaboration avec l’incubateur Bond’Innov, également partenaire réseau des African Rethink Awards 2019.
Bond’Innov est un incubateur de projets innovants, implantés en France ou en Afrique, en particulier dans les domaines de la santé, la biotechnologie, l’environnement et l’économie sociale et solidaire. Basé en Ile-de-France, dans la ville de Bondy, il s’agit du seul incubateur francilien d’innovation spécialisé dans l’entrepreneuriat des pays de l’hémisphère sud.
Il est fondé, en 2011, par six structures : l’Institut de recherche pour le Développement, le parc scientifique Biocitech, l’Université Paris 13, le Conseil Général de Seine-Saint-Denis, la communauté d’agglomération Est Ensemble et la Ville de Bondy.
Le projet est cofinancé par le programme Opération Régionale des fonds européens 2014-2020 dans le cadre de l’investissement territorial intégré d’Est Ensemble. Depuis sa création, Bond’Innov est dirigé par Ninon Duval-Farré.
Bond’Innov a cinq priorités :
- Dynamiser le tissu économique local et l’emploi en accueillant des entreprises en Seine-Saint-Denis, et des projets innovants portés par les membres des diasporas.
- Développer les échanges scientifiques et économiques Nord/Sud, et l’incubation au Sud ou avec le Sud.
- Encourager l’entrepreneuriat et créer des coopérations entre laboratoires et entreprises.
- Promouvoir l’entrepreneuriat à impact économique, social et environnemental positif
- Participer au rééquilibrage de l’Est parisien et faire connaître les valeurs et les savoir-faire des membres fondateurs.
L’incubateur offre aux entrepreneurs un suivi stratégique et individualisé dans le cadre d’un parcours de progrès organisé en deux ans. En plus de mettre à la disposition des jeunes start-ups son réseau de partenaires, Bond’Innov facilite l’accès au financement d’amorçage, grâce à son fonds de prêt d’honneur International & Sud.
Il offre aux entrepreneurs africains un accès privilégié à travers 30 points-relais dans le monde et ses 2 000 collaborateurs. Chaque année, Bond’Innov organise Les Rencontres « International-Sud », rendez-vous annuel des professionnels de l’innovation agissant avec et pour l’entrepreneuriat africain.
En 2019, il a eu pour thème “Le numérique au service de l’innovation responsable”. Depuis sa création en 2011, Bond’Innov a accompagné plus de 35 start-ups établies en France ou en Afrique.
La Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) est une bourse entièrement électronique commune aux huit (8) pays de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) à savoir : Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée-Bissau, Mali, Niger, Sénégal et Togo.
La BRVM est la VIème bourse africaine en termes de capitalisation après celle de Johannesburg, Lagos, Le Caire, Casablanca et Nairobi. En 2018, sa capitalisation boursière s’est établie à 5 154 milliards de FCFA (environ 8 millions d’euros). La même année, elle représente 13% du produit intérieur brut de l’UEMOA. La BRVM est à la fois un succès politique, institutionnel et technique. Elle est membre de l’African Securities Exchanges Association (ASEA) et du West African Capital Markets Integration Council (WACMIC).
En 2014, la BRVM est intégrée successivement aux indices MSCI et S&P Dow Jones. et réalise la plus importante introduction en bourse de son histoire le 16 avril 2019, pour un montant de 284,2 milliards de Francs CFA grâce à la cotation du groupe bancaire Oragroup.
La BRVM a pour missions :
- l’organisation du marché boursier ;
- la cotation et la négociation des valeurs mobilières ;
- la diffusion de l’information boursière ;
- la promotion et le développement du marché des valeurs mobilières.
La BRVM est dirigée par Edoh Kossi Amenounvé, Directeur Général de l’institution et Parfait Kouassi, son Président depuis décembre 2018.
Fondée en 1984, Canal + est la première chaîne de télévision privée française. Elle compte aujourd’hui près de 5 millions d’abonnés en France et 16,2 millions à travers le monde. Canal + International est présidé par Jacques Dupuy et compte plus de 4 000 collaborateurs.
En 2018, son chiffre d’affaires s’élevait à 1,5 milliards d’eurosAvec une présence en pleine expansion sur le continent africain, le groupe y est un acteur économique clé. Il opère en Afrique depuis 25 ans et couvre, aujourd’hui, plus de 25 pays à travers 13 filiales.
Premier opérateur de télévision payante par satellite en Afrique francophone, Canal + Afrique édite 17 chaînes premium pour le continent. Le groupe produit également des programmes inédits à succès, dédiés à ses abonnés africains, à l’instar du magazine Réussite, +D’Afrique ou Talents d’Afrique.
Canal + Afrique fait preuve d’un engagement actif en faveur du développement numérique et audiovisuel du continent. En juin 2019, le groupe lance Canal + University. L’initiative vise à encourager les transferts de compétences dans le secteur des médias. L’objectif : former des journalistes, des producteurs et des réalisateurs africains qui puissent offrir des programmes qui s’exportent hors du continent.
Le groupe soutient activement l’entrepreneuriat africain, notamment par sa présence aux côtés du LAB depuis cinq ans, et l’engagement particulier de son Directeur Général, Jean-Christophe Ramos.
La Chambre de Commerce et d‘Industrie de Côte d’Ivoire est une des trois institutions consulaires du pays, avec celle de l’agriculture et celle des Métiers et de l’Artisanat. Elle a été créée par décret en 1992 sous sa forme actuelle, mais son histoire remonte à 1908.
La Chambre est sous la tutelle du ministère chargé du Commerce. Sa circonscription couvre tout le territoire national. Elle est placée sous l’autorité d’un Président, Faman Touré, et d’une Assemblée générale forte de 102 membres, chefs d’entreprises ou cadres dirigeants, élus par leurs pairs en 2016 pour 6 ans.
Elle dispose d’une administration permanente et de délégations régionales assurant une représentation dans les 19 régions de Côte d’ivoire, lui permettant ainsi de prendre en compte les préoccupations de tous les opérateurs économiques.Dotée de l’autonomie de gestion, elle représente auprès de l’Etat ivoirien les intérêts du Commerce, de l’Industrie et des Services. Elle accompli quatre missions clés :
- Représentation
- Assistance et conseils aux entreprises
- Création et gestion d’infrastructures
- Formation
Son but est de défendre les intérêts des entreprises de son territoire et de les promouvoir, en développant les capacités des hommes qui en sont les acteurs et en aménageant des espaces, des infrastructures et des services nécessaires à leur développement. De ce fait, elle est consultée régulièrement par les pouvoirs publics pour donner son avis et présenter ses vues au gouvernement sur les questions touchant aux intérêts économiques.
Une année de plus, la CCI-CI témoignera sa confiance en l’entrepreneuriat africain en participant, représentée par son Vice-Président, Kouadio Parfait Kouassi, lors des Africa Rethink Awards 2019.
La Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE), opérateur privé, est un des leaders du secteur sur le continent africain.
Détenue à hauteur de 52% par le groupe panafricain, Eranove, son capital social s’élève à 21,3 millions d’euros. Elle est liée à l’Etat de Côte d’Ivoire, qui détient par ailleurs 15% de son capital, par une convention de concession. La CIE se charge de l’exploitation des ouvrages de production de transport et de distribution ainsi que de la commercialisation de l’énergie électrique sur l’ensemble du territoire national et dans la sous-région.
Elle exporte de l’électricité vers le Bénin, le Burkina Faso, le Ghana, le Togo, le Mali et la Guinée. Créée le 24 août 1990, la compagnie s’intitule initialement Energie électrique de Côte d’Ivoire. En 2017, la CIE comptabilisait 1 897 826 clients et 268 162 branchements et raccordements.
Forte de 4 818 collaborateurs, elle réalisait un résultat net de 2 milliards de FCFA. En mars 2019, Eranove annonce la nomination de Monsieur Dominique Kakou comme Président du Conseil d’Administration de la CIE ainsi que l’arrivée de Monsieur Ahmadou Bakayoko comme Directeur Général de la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE).
Le Conseil Supérieur du Notariat est l’organisation professionnelle du notariat habilitée à s’exprimer au nom des notaires de France.
En France, on compte, en 2019, 13 695 notaires générant un chiffre d’affaire total de 7,5 milliards d’euros. Il s’agit d’un établissement d’utilité publique défini par l’Ordonnance et le Décret de 1945.
Il se compose de 33 conseils régionaux de notaires et 72 chambres départementales. Le Conseil représente la profession auprès des pouvoirs publics. Il contribue à la réflexion sur les évolutions du droit et donne son avis sur les projets de lois ou les textes réglementaires en préparation.
Etabli à Paris, le Conseil Supérieur du Notariat est présidé par Jean-François Humbert depuis octobre 2018. Une équipe de plus de 100 collaborateurs travaille au quotidien au service du Conseil. Les services sont dirigés par Jérôme Fehrenbach, Inspecteur général des finances.
Le Conseil supérieur du notariat est lié aux notariats et ministères de la justice étrangers par 25 accords de partenariat, qui couvrent des pays du pourtour méditerranéen, d’Asie, du Proche- et Moyen-Orient, d’Amérique, d’Europe de l’Est et de l’Océan indien, ainsi que l’Allemagne, l’Italie et le Québec.
Sur le continent africain, le notariat français a lancé en 1992 l’Association du Notariat Francophone qui compte aujourd’hui 25 pays membres. En application de ces accords, les notaires de France forment plus de 1000 professionnels étrangers par an. Des actions de formation de notaires ont, notamment été menées au Liban, à Madagascar, au Tchad et au Cameroun dans le cadre de programmes européens de réforme judiciaire.
Des formations plus spécialement axées sur la lutte contre le blanchiment se sont tenues au Bénin. D’autre part, il lutte activement au service de la sécurité foncière, qu’il considère essentielle à tout pays qui souhaite assurer son essor économique et sa paix sociale. Togo, Mali, Egypte, Tunisie, Burkina Faso, Ile Maurice : depuis sa création en 1945, il multiplie les actions en ce sens sur le continent.
Présidée par le co-fondateur et directeur financier de GreenTec Capital Partners, Thomas Festerling, la Fondation GreenTec Capital Africa est une organisation à but non lucratif qui promeut les investissements dans l’entreprenariat africain. Sous l’impulsion du second associé, Erick Yong, elle démarre ses activités en mars 2019, lancée par la société de capital risque GreenTec Capital Partners.
Parce que les entrepreneurs performants, aux idées et aux concepts convaincants, se multiplient sur le continent africain, la fondation veut être un catalyseur d’investissements et impulser un développement réussi et durable de l’écosystème africain. L’équipe de la Fondation travaille en étroite collaboration avec les principaux acteurs de l’entrepreneuriat africain, des investisseurs et des entreprises européennes et africaines, ainsi qu’avec des institutions publiques et privées. Elle offre aux investisseurs et aux entreprises un partage des connaissances et une expertise en matière d’investissements dans l’entreprenariat africain.
Fondée en 2015, la société GreenTec Capital Partners propose aux jeunes PME et start-ups africaines un accompagnement d’un genre nouveau fondé sur le système propriétaire Result4Equity. Ce dernier allie accompagnement opérationnel soutenu et investissements financiers. Basée à Francfort, en Allemagne, GreenTec Capital Partners accompagne aujourd’hui 17 start-ups réparties dans 10 pays africains.
Le Tubaniso Agribusiness & Innovation Center (TAIC) est un centre d’incubation et de développement d’entreprises innovantes. Porté par le Groupe de la Banque Mondiale et l’Institut international de recherche sur les cultures des zones tropicales semi-arides (ICRISAT).
Le TAIC entend devenir le plus grand centre d’incubation et d’accélération du Sahel. Bâti sur 100 hectares de terrain situé à 10 km du centre de Bamako, le centre comprend une centaine d’installations parmi près de 1 000 bureaux équipés, des salles de conférence et de formation et un espace d’expérimentation agricole. Les entrepreneurs ont également accès aux hébergements, à un espace dédié à la culture et aux loisirs, ainsi qu’à un espace de restauration.
Le TAIC, c’est à la fois :
- Un lieu d’incubation : qui accueille des centaines d’agri-entrepreneurs et d’innovateurs pour l’idéation, le prototypage et le démarrage de leurs start-ups
- Un lieu d’inspiration : où des conférences, des séminaires et des compétitions sont organisés pour favoriser l’émergence et l’ouverture sur le monde
- Un lieu de cocréation : où l’open innovation permet la collaboration entre entreprises, start-ups et artistes afin de résoudre des enjeux socio-économiques et environnementaux
- Un lieu d’accélération : où les opportunités commerciales les plus prometteuses seront assurées par un start-up studio qui structurera et financera la prise de risque et l’innovation de rupture
Son objectif : favoriser le développement social et économique. Hub régional pour le développement de l’innovation au Sahel, le TAIC s’attache à réduire la pauvreté et les inégalités, gage d’un retour progressif de la stabilité dans la région.
À la suite des signatures de la Charte de l’Atlantique et de la Déclaration des Nations unies, la Conférence des ministres alliés de l’éducation (CAME) se réunit à Londres, entre le 16 novembre 1942 et le 5 décembre 1945. Le 30 octobre 1943, la Chine, les États-Unis, le Royaume-Uni et l’URSS expriment la nécessité d’une organisation internationale dans la déclaration de Moscou. Elle est suivie par les propositions du 9 octobre 1944 lors de la Conférence de Dumbarton Oaks. À partir de la proposition de la CAME et conformément aux recommandations de la Conférence de San Francisco qui se tient entre avril et juin 1945, la Conférence des Nations unies pour l’établissement d’une organisation éducative et culturelle (ECO/CONF) est convoquée à Londres du 1er au 16 novembre 1945. Elle rassemble les représentants de 44 États. Pendant l’ECO/CONF, l’Acte constitutif de l’UNESCO est introduit et signé par 37 États, cependant qu’une commission préparatoire est également établie9. Celle-ci poursuit ses travaux du 16 novembre 1945 au 4 novembre 1946, jour où l’Acte constitutif entre en vigueur avec le dépôt de la vingtième ratification d’un État membre10.
Dans son préambule, resté célèbre, la charte constitutive de l’UNESCO énonce que « les guerres prenant naissance dans l’esprit des hommes, c’est dans l’esprit des hommes que doivent être élevées les défenses de la paix »11.
Par la suite, le congrès de Yamoussoukro en Côte d’Ivoire, qui s’est tenu en 1989, a permis à l’UNESCO de s’accorder sur un principe essentiel : « la paix représente bien plus que la fin des conflits armés »11.
Visa est une entreprise internationale de technologie de paiements qui permet aux consommateurs, aux entreprises, aux banques et aux administrations d’utiliser des paiements digitaux dans plus de 200 pays et territoires à travers le monde. Crée en 1958, la société dispose, aujourd’hui, d’un réseau de plus de 21 000 sociétés financières. En 2018, le nombre total de cartes Visa en circulation s’élevait à 3, 3 milliards. Les cartes Visa sont disponible dans plus de 180 monnaies et acceptées par plus de 31 millions de commerçants.
Visa compte sept bureaux implantés sur le continent africain. Le dernier en date, le bureau régional pour l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique Centrale ouvert en novembre 2017. A ce jour, Visa est présent sur plus de 40 marchés africains. L’entreprise envisage de couvrir toute l’Afrique d’ici les cinq prochaines années.
La société Visa ne cesse de multiplier les initiatives pour soutenir l’entrepreneuriat et les jeunes start-ups. Visa Everywhere Initiative est un programme d’innovation mondial qui invite les startups à résoudre les problèmes de paiement de demain, à améliorer leurs propres propositions de produits et à fournir des solutions visionnaires au large réseau de partenaires de Visa.
Le programme a été lancé pour la première fois aux Etats-Unis en 2015 et s’est rapidement étendu à d’autres régions du monde avec la participation de plus de 4 000 startups, qui ont levé collectivement des fonds dépassant les 2,5 milliards USD, avec plus de 221 finalistes et 70 lauréats.
Le programme est mis en place en Amérique du Nord, en Amérique latine, en Europe, en Asie, au Moyen-Orient et en Afrique, touchant plus de 75 pays. En 2018, trois start-ups africaines ont compté parmi les vainqueurs : les start-ups nigérianes CredPal et Growsel et la start-up Kenyane Mookh Africa.
En 2019, Visa renouvelle son soutien au start-ups africaines en participant une nouvelle fois aux African Rethink Awards 2019.